Les entrepreneurs des stations-service prévoient qu’entre 10 000 et 15 000 millions de pesos pourraient arriver en investissements d’ici la fin de 2022 tout au long de la chaîne de valeur, ils cherchent donc à travailler main dans la main avec le gouvernement pour promouvoir de nouveaux projets et débloquer ceux qui sont déjà prêts, mais sans autorisation.
L’Organisation nationale des détaillants pétroliers (Onexpo), a indiqué que d’ici fin 2022, elle estime que la Commission de régulation de l’énergie (CRE) pourra délivrer jusqu’à 250 permis au secteur du gaz. En outre, le dynamisme du secteur dépendra de la réglementation, car il existe plusieurs dispositions administratives qui se trouvent dans la Commission pour l’amélioration de la réglementation.
Jorge Mijares, presidente nacional la Onexpo, dijo que hay entre 100 y 150 estaciones de servicio que ya están construidas y solo le faltan su permiso, cada gasolineras en promedio es una inversión de 25 millones de pesos, entonces el monto de proyectos detenidos significan 3,700 millions de pesos.
Pour cette année, on s’attend à ce que le nombre de stations-service n’augmente que de 0,9 % par rapport à l’année dernière, pour ajouter un total de 12 995 stations-service.
D’autre part, il a souligné que la demande d’essence est déjà à des niveaux supérieurs avant la pandémie et devrait maintenir cette tendance pour le reste de l’année, de plus de 800 000 barils en moyenne par jour.
Concernant les prix de l’essence, le président d’Onexpo a déclaré que si les prix continuent de baisser aux États-Unis et que les stimuli fiscaux du gouvernement sont supprimés, il y a un risque que le huachicol fiscal revienne.
« En effet, si le prix continue de baisser aux États-Unis, il est très probable que le huachicol fiscal se reproduise et c’est de la concurrence déloyale, ce ne sont pas des règles du jeu équitables pour ceux d’entre nous qui s’y consacrent. »
Cependant, il a déclaré qu’ils espéraient que le gouvernement mettrait en place les obstacles nécessaires pour réglementer les importations et les empêcher d’entrer sous d’autres codes qui permettent de baisser injustement le prix.
Sur un autre sujet, le président d’Onexpo Coahuila, Miguel Dainitín, a souligné que de nombreuses stations-service qui étaient avec BP, Total, Gulf et Repsol sont revenues à Pemex, car les distributeurs privés qu’ils avaient ne sont pas autorisés.
En juin de cette année, le nombre de stations Gulf a chuté de 17 %, Total de 13,2 %, BP de 4,4 % et Repsol de 1,1 % par rapport au même mois en 2022.