La société Meta (maison mère de Facebook, Instagram, Whatsapp et Messenger) rapporte ce jeudi Le journal de Wall Street.
Ces travailleurs auraient utilisé le système d’exploitation en ligne (Oops), un mécanisme qui existe depuis les premières années de Facebook comme moyen pour les employés d’aider les utilisateurs qui ont oublié leur mot de passe ou qui ont perdu l’accès à leurs comptes à cause de pirates informatiques.
Cette procédure est censée être limitée à des cas particuliers tels que les amis ou les parents du travailleur, les partenaires commerciaux et les personnalités publiques.
Pourtant, selon un document interne revu par le journal.
Meta a indiqué que dans certains cas, selon des sources internes avec lesquelles le point de vente a pu s’entretenir et des documents auxquels il a eu accès.
Certaines des personnes licenciées étaient des sous-traitants travaillant comme agents de sécurité dans les locaux de Meta, qui avaient accès au mécanisme interne de la société mère de Facebook.
Le porte-parole de Meta, Andy Stone, a déclaré au tabloïd, ajoutant que la société « continuera à prendre les mesures appropriées contre les personnes impliquées ».
Ces types de problèmes internes mettent en évidence le problème compliqué que Meta doit fournir à ses plus de 3 milliards d’utilisateurs sur ses plateformes, car l’entreprise ne dispose pas d’une ligne de service client directe.
Pendant ce temps, lorsque les utilisateurs ne peuvent pas accéder à leurs comptes, ils essaient généralement des méthodes automatisées pour les réinitialiser ou essaient de contacter un travailleur Meta par téléphone ou par e-mail.
L’employée Reva Mandelowitz, qui était sous-traitante pour Allied Universal, a été licenciée en février selon les médias spécialisés.
Avec des informations de l’EFE.