Le Conseil de coordination des affaires (CCE) a demandé au Congrès de l’Union de l’inclure dans la discussion des réformes en matière minière et administrative, qui, à son avis, sont contraires aux normes convenues dans le traité entre le Mexique, les États-Unis et Canada (TMEC) et violent les libertés individuelles et les droits de la personne.
« Au cours de la période actuelle des sessions du Congrès, deux initiatives directement liées au développement du Mexique sont en cours de processus législatif : l’ensemble des réformes de diverses lois sur les questions administratives liées aux contrats dans le domaine des acquisitions, des baux, des services et travaux publics, ainsi que le paquet de réformes minières », a déclaré l’organisation commerciale dirigée par Francisco Cervantes Díaz.
« Les initiatives présentées contiennent des réglementations contraires au cadre constitutionnel, aux traités internationaux tels que le TMEC et à d’autres instruments commerciaux, voire violent les libertés individuelles et les droits de l’homme. »
La réforme minière, a détaillé le CCE, va dans le sens inverse de ce qui est nécessaire pour favoriser le développement ultérieur de l’industrie de l’extraction des métaux et des infrastructures publiques.
En raison de l’activité intense que le secteur privé a sur les deux questions, ainsi que de leur pertinence pour le développement du pays et pour la certitude des investissements, le Conseil de coordination des entreprises a jugé pertinent qu’une discussion soit ouverte au Congrès qui l’inclut.
« Notre position est basée sur des analyses juridiques et techniques par des spécialistes de nos organisations, sur des expériences que, en tant qu’acteurs, nous avons eues tant dans les domaines de la vie économique que dans les scénarios à venir tant en termes d’extraction minière, que d’infrastructures qui Le Mexique en a besoin », a-t-il dit.
Le CCE a indiqué qu’il faisait confiance à l’ouverture de cette législature pour analyser de manière approfondie les deux initiatives, sur la base du bon climat démocratique et afin de contribuer à la transparence en matière économique et de construire ensemble des améliorations juridiques qui renforcent et donnent de la sécurité aux petites et moyennes entreprises entreprises, en faveur du développement et de la confiance au Mexique